Les ministres des Affaires étrangères de l'UE discutent aujourd'hui à Bruxelles de l'aide à l'Ukraine, des sanctions contre la Russie et de la situation au Moyen-Orient. Les décisions prises pourraient influencer l'avenir de l'Europe.
Les alliés sont prêts à prendre d’autres mesures si le président russe ne consent pas à soutenir un cessez-le-feu en Ukraine : des pays clés ont annoncé de nouvelles sanctions et une aide militaire.
Mike Waltz a déclaré que Kiev pourrait être contrainte de faire des concessions territoriales à Moscou dans le cadre des négociations de paix en cours avec les deux parties.
Kyiv a accepté la proposition des États-Unis d’un cessez-le-feu temporaire, mais sous réserve d’un pas simultané de la part de la Russie. La décision est désormais entre les mains du Kremlin.
Elon Musk a qualifié Starlink de facteur clé sur le front et a proposé des sanctions contre les oligarques ukrainiens, estimant que cela pourrait résoudre le conflit.
La Maison-Blanche a déclaré que l'administration Trump ne prévoit pas d'annuler le statut temporaire de 240 000 Ukrainiens ayant quitté leur pays en raison de la guerre.
La Maison Blanche envisage de débloquer l’aide à l’Ukraine si les deux parties entament des négociations sincères et adoptent des mesures de renforcement de la confiance.
Le président des États-Unis, Donald Trump, a suspendu les livraisons d'aide militaire à l'Ukraine, y compris des armes d'une valeur de 3,85 milliards de dollars, après un conflit avec Volodymyr Zelensky.
Le président de l’Ukraine a souligné que son équipe est prête à négocier avec le soutien de Trump et propose un échange immédiat de prisonniers ainsi que l’arrêt des attaques contre les infrastructures.
Lors de sa visite à Londres, Zelensky a discuté du soutien à l'Ukraine avec Starmer. La Grande-Bretagne fournira 2,6 milliards de livres sterling pour la défense grâce aux actifs russes gelés.
La France et la Grande-Bretagne ont proposé une trêve d’un mois en Ukraine, mais sans arrêt des combats terrestres. Macron a expliqué pourquoi il est possible de contrôler cette mesure.
L'Union européenne a proposé à l'Ukraine un accord mutuellement bénéfique sur des ressources critiques. Face aux exigences de Trump, l'accord avec l'UE apparaît comme une alternative à la pression des États-Unis.
Du 12 au 14 mars 2025, une réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 se tiendra à Charlevoix, au Canada. Les principaux sujets abordés seront le soutien à l'Ukraine, les crises en Afrique et au Moyen-Orient.
Le président ukrainien a déclaré que le pays souffrait d'une pénurie de missiles pour les systèmes de défense aérienne Patriot, mettant ainsi en péril la sécurité des villes face aux attaques russes.
L'Union européenne renforce la pression sur le Kremlin : de nouvelles restrictions ont été adoptées contre la « flotte fantôme » et les opérations commerciales de la Russie. L'approbation officielle est prévue pour le 24 février.
À la suite de l'attaque d'un drone russe dans la zone de Tchernobyl, le nouveau sarcophage a été endommagé et un incendie s'est déclaré. Les dirigeants à Munich discutent des mesures de riposte.
Les pays européens ont confirmé leur volonté de renforcer la sécurité de l'Ukraine, en discutant des prochaines étapes avec les États-Unis pour parvenir à une paix juste et durable.
Le président de l'Ukraine, Volodymyr Zelensky, a discuté avec Donald Trump des questions de paix, de coopération et des nouvelles opportunités pour l'Ukraine.
Donald Trump a eu un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine, au cours duquel ils ont discuté de la guerre en Ukraine, de la géopolitique et de la possibilité de travailler ensemble pour mettre fin au conflit.
À partir du 12 mars 2025, les États-Unis rétablissent une taxe de 25 % sur l'importation d'acier en provenance du Canada, de l'Union européenne, du Mexique, de l'Ukraine et d'autres pays. Cette décision est justifiée par une menace pour la sécurité nationale.